FAIS DE BEAUX REVES !

 

A l’occasion d’une soirée bien arrosée, je me retrouvais avec Maîtresse Marie qui n’était pas intéressée par une sortie en compagnie de son mari. Celle-ci était fatiguée suite à une absorption d’alcool exagérée. C’était le moment propice pour profiter de la situation et de faire avaler à celle-ci quelques somnifères pour réaliser mes fantasmes de fétichiste les plus fous.

Elle portait une paire de sabots noirs ouverts avec des hauts et gros talons. Il ne me restait plus qu’à lui verser la dernière coupe de champagne accompagnée de tranquillisants foudroyants. Les effets étaient positifs car en moins de cinq minutes, Maîtresse Marie laissa tomber sur le carrelage, sa boisson préférée.

Je me dépêchais de sortir ma caméra numérique pour mes plus beaux souvenirs fantasmatiques. Je bandais à la vue des scènes que j’allais filmer. Je reposais sa tête sur l’un des coussins du fauteuil, jambes croisées et laissant apparaître des semelles sales et usées.

L’une de mes premières séquences démarrait par un nettoyage total de ses sabots. Ma langue fouinait dans les moindres recoins prenant sur son passage, salissures et corps étrangers incrustées dans ses talons et semelles. J’avais un goût de cuir dans la gorge mais cela ne m’empêchait pas de continuer à baver sur ses sabots.

La seconde mise en scène démarrait par un léchage des doigts de pieds de Maîtresse Marie accompagnait d’une pression de l’autre sabot sur mon sexe. Ma queue était comme la justice prête à être écrasée. Je n’avais plus qu’à retirer la bride qui retenait ses petits petons pour commencer mon travail de nettoyeur.

Je les suçais un par un dans des mouvements incessants et je sentais en moi monter la sauce mais il ne fallait pas cracher mon foutre sans en avoir fini ma vidéo.

L’extrémité de mon gland présentait quelques gouttelettes qui coulaient le long de son sabot. Dans l’avant dernière scène, j’introduisais mon gros sexe entre le talon de son pied et la semelle intérieure.

Vue la grosseur de ma queue, il m’était difficile de pénétrer son sabot entièrement. Mon gland venait butter contre les parois de sa chaussure dans des sensations encore là inconnues pour moi. La jouissance n’était pas loin et il ne me restait plus beaucoup de temps pour me précipiter en direction du visage de ma Déesse et venir lui cracher à la figure une grande quantité de sperme.

Mon jus coulait le long de sa bouche et j’en profitais même pour frotter mon sexe rouge comme sang dans ses cheveux.

Maintenant, il m’arrive régulièrement de repasser mon petit film personnel sur mon PC, en pensant à cette petite blonde qui n’arrête pas de remplir ma tête de fantasmes les plus délirants.

 

Maîtresse Marie pour son esclave Lucien.