DUO D’UN SOIR

 

Nous connaissions Lucien depuis un certain temps au point de lui donner rendez-vous à la maison pour une soirée très spéciale. Mon mari était impatient de me voir dans mes œuvres de dominatrice sur un nouveau sujet. Lucien était l’esclave parfait pour subir humiliations verbales, coups de pied dans les parties génitales et j’en passe.

Il était clair que mes deux hommes avaient beaucoup de points communs sur le fétichisme de la chaussure féminine.

L’heure était aux préparatifs avant l’arrivée de notre hôte. Je m’équipais d’une paire de collants noirs finis par des escarpins à talons aiguilles. Mon époux me regardait d’un air pervers à s’en frotter le sexe par-dessus le pantalon.

Lucien était à l’heure pour notre soirée fantasmatique. C’était un beau garçon mettant en valeur les rondeurs de son entrejambe.

M : « entres Lucien et assied-toi dans le fauteuil du salon ! ».

Lucien : « bonjour Franck comment vas-tu ? ».

Franck : « salut Lucien depuis le temps qu’on se connaît sur le web, ça me fait drôle de te voir chez moi ! ».

M : « faites connaissance le temps pour moi de préparer le restant du matériel ! ». Je sélectionnais une paire de talons aiguilles pour chacun de mes esclaves : des sandales pour la masturbation de notre cher Lucien et des mini-bottes pour un nettoyage de talons avec la langue de mon mari. Ils étaient rouges comme des pivoines à mon arrivée dans le salon. Je m’installais entre eux, jambes croisées. Je m’amusais à balancer mes escarpins afin de les exciter à leur maximum.

J’étais tout de même gêner vu que c’était pour moi la première fois que j’allais dominer un étranger.

Dans un silence de mort il fallait que quelqu’un se décide à attaquer. Mon mari lui prit la main, la posa sur mon sexe lui faisant comprendre que j’avais besoin de ça pour m’échauffer.

Dans l’excitation je ne cherchais plus à comprendre. Je pris Lucien par la nuque et commençais à l’embrasser. Il me roula longuement des pelles à en baver.

Mon époux me prit l’autre main pour l’enfouir entre ses jambes. Il ne me restait qu’à le branler par-dessus dans un mouvement des plus brutaux. Je serrais de toutes mes forces ses noix. Je l’entendais pousser des petits cris de jouissance.

Mon mari était très excité. Il y sortit sa grosse verge et la dirigea en direction de mes escarpins. Il prit mon pied, me déchaussa à moitié pour y pénétrer sa queue toute rouge.

Je fit sauter les boutons de la braguette de Lucien et d’une main gantée je sortais le paquet. Son sexe était aussi gros et long que celui de mon époux.

Lucien me prit la tête, approchant sa queue de ma bouche. Je le suçais dans des va-et-vients incessants. Ses veines gonflaient, prêtes à exploser.

Les rôles étaient maintenant inversés et il était temps pour moi de jouer la maîtresse. D’un coup de pied dans les testicules de mon mari lui fit comprendre qu’il devait s’allonger tel un paillasson. Lucien ne se fit pas attendre et prit la même position que mon esclave.

Leurs queues étaient à la merci de mes escarpins.

Maîtresse Marie : « ouvrez la bouche bande de merdes ! ».

La première paire de sandales étaient destinées à Lucien. Je le pris brutalement par la queue et dans un geste de sadique j’y enfonçais à l’intérieur de celle-ci.

Maîtresse Marie : « branle-toi dedans maintenant et ne gicles pas ! Sinon tu vas goûter à mes escarpins ! ».

Il ne me restait plus qu’à m’occuper de mon mari. Les gros talons des mes bottes avaient du mal à entrer dans sa bouche mais après quelques efforts, ils allaient s’enfouir jusqu’au fond de sa gorge.

Maîtresse Marie : « suce-moi ça gros bâtard et que ça brille ! ».

Occupés dans leur tâche d’esclave, j’avais le temps de m’installer entre eux, mes escarpins prêts à leur tailler la queue. Mes semelles ripaient sur leurs couilles, mes talons accrochant parfois la peau.

Lucien : « écrasez-moi le sexe comme une vulgaire cigarette Maîtresse ! »

Maîtresse Marie : « ta gueule sac à merde ! Nettoies plutôt mes sandales ! ».

Le premier à cracher son foutre était mon mari, allant jusqu’à se coller sur mes magnifiques collants.

J’étalais la semence sur toute la surface de sa braguette.

Mon deuxième esclave était un peu plus long à décharger mais quelques coups de pied bien placés suffisaient à le faire éjaculer. Ma semelle était pleine de petits morceaux glueux qu’il fallait me débarrasser par un léchage de langue.

Je présentais le dessous de mon pied à Lucien en lui montrant du doigt qu’il n’avait pas d’autres choix que de nettoyer. Il n’était pas volontaire à ce genre de chose. Sans hésitation je le pris par les cheveux si fortement qu’il ne pouvait s’empêcher d’hurler, le moment propice pour y enfoncer presque la totalité de ma chaussure au fond de la bouche.

En fin de soirée, j’étais fière d’avoir mener par le bout du nez deux esclaves faibles face à la supériorité de la femme sur l’homme.

Maîtresse Marie.

 

Encore un grand merci pour la vidéo, en attendant celle du crushing par votre voisine.