CRUSHING D’UN SOIR

 

Je profitais de l’absence de mon époux pour prendre contact avec mon esclave préféré dénommé Lucien. J’avais envie de passer quelques heures en sa compagnie. C’était un homme qui aimait particulièrement voir son repas piétiné par sa Maîtresse Vénérée en l’occurrence moi. J’ai toujours adoré voir cette petite merde sous ma table, me nettoyer les pompes pleines de nourriture.

Maîtresse Marie : « bonjour esclave ! C’est ta Maîtresse qui te demande d’être présent chez toi ce soir ! Je veux que tu me prépares un bon repas style bœuf bourguignon accompagné de beaucoup de sauce ! Tu porteras qu’un slip des plus banales laissant apparaître ton gros paquet ! Car j’ai envie ce soir de t’exploser les couilles avec mes superbes bottes à gros talons ! ».

Lucien : « bien Maîtresse je suis à vos ordres ! ». Arrivé devant la porte de mon paillasson, je me refaisais une beauté tout en remettant ma jupe longue suite à une petite masturbation dans la voiture (pressée de voir l’image de mon esclave sous la table en train de saliver sur mes bottes !).

Lucien : « entrez Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « La ferme sac à merde et baisses les yeux ! Tu n’es autorisés qu’à regarder mes bottes ! A genoux et guide-moi à ma table ! ».

Lucien était dans une position tel un chien bavant sur les chaussures de sa Maîtresse. Je mouillais dans ma petite culotte car je détenais le pouvoir de dresser un homme tel que Lucien. Mon petit plaisir s’accompagnait de quelques coups de pied dans ses parties génitales. Il poussait quelques cris de jouissance avant le baiser sur l’extrémité de mes bottes. Il est vrai que j’adore travailler les noix d’être inférieur.

Maîtresse Marie : « Alors ça viens sac à merde ! Ta maîtresse a faim ! ». Il se pressa de m’apporter dans un luxueux plat cette nourriture qui allait être broyée par mes semelles et mes gros talons.

Maîtresse Marie : « poses ta merde à mes pieds ! ».

Le plat posé sur la moquette, j’en profitais pour lui écraser quelques doigts telle une vulgaire cigarette.

Lucien : « ahh… ! ».

Maîtresse Marie : « ça fait mal hein ! Gros bâtard ! ».

Lucien : « oui Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « sous la table maintenant tel un chien ! C’est un ordre ! ».

Il ne demanda pas son reste et se positionna à mes pieds, attendant son petit fantasme.

Maîtresse Marie : « regardes comment je broie cette nourriture ! Je pourrais en faire de même avec tes couilles ! ».

Il salivait à la vue de mes bottes pleines de sauce. Je voyais son sexe dépassait de son slip et ne demandait qu’une chose, me lécher les semelles encore imprégnées de boue.

Maîtresse Marie : « vas-y nettoies maintenant c’est un ordre ! ».

Lucien : « oui Maîtresse ! ».

Je le regardais travailler sur mes bottes. Sa langue était rouge comme sang suite à des mouvements incessants de sa langue. Il suçait mes gros talons comme l’on suce une queue. Je rigolais de cette merde exécutant le moindre de mes désirs.

Maîtresse Marie : « ça suffit sac à merde ! Je veux maintenant que tu te branles sur mes bottes ! J’adore ça ! ».

Lucien : « oui Maîtresse ! ». Il sortit sa grosse queue toute rouge prête à exploser sur le cuir de mes pompes. Son gros légume eu raison de mes bottes et une giclée vint se déposer sur l’extrémité de mes talons.

Il ne me restait plus qu’à en étaler la semence sur tout le visage de mon esclave.

Maîtresse Marie pour son esclave Lucien.