COURS DU SOIR

 

Dans mes fantasmes les plus profonds j’ai toujours rêvé de mettre en scène l’image de la collégienne dominer un copain de classe. Equipé d’une caméra numérique je n’avais plus qu’à embaucher un acteur dont le fétichisme de la chaussure féminine n’avait plus de secret pour lui. Connaissant Lucien de longue date (mon esclave sur le web !) je savais que notre hôte ne pourrait refuser un tel cadeau de ma part. En attendant une réponse rapide de mon soumis, mon mari s’occupait des derniers préparatifs pour le montage de notre clip-vidéo. Moi je n’avais plus qu’à me rendre dans des magasins spécialisés pour acheter la tenue adéquate de la collégienne sexy : une mini-jupe écossaise, un chemisier blanc, des bas résilles, une paire de socquettes à dentelles et pour finir des sandales noires à talons vertigineux. Il fallait me faire une coiffure typique avec les couettes blondes. Pour le reste des sabots ouverts pour y introduire le sexe de mon esclave et encore une paire de chaussures à lacets. Il ne manquait rien avant la venue de Lucien. A l’arrivée de mon soumis, celui-ci exécuta tous mes ordres à savoir qu’il ne devrait porter qu’un vulgaire slip. Le film pouvait commencer.

Lucien : « bonjour Marie ! Je viens comme convenu t’aider dans tes devoirs ! ».

Marie : « Vas-y Lucien entres et installe-toi sur le lit ! ».

Lucien : « Tes mains sont douces Marie et habillées comme ça tu m’excites beaucoup ! ».

Marie : « occupe-toi plutôt de mes devoirs et arrêtes de regarder mes pieds ! ».

Lucien : « comment veux-tu que je me concentre sur ton travail alors que tu vêtues comme une pute ! »

Marie : « quoi une pute ? Tu vas voir de quel bois je me chauffe ! ».

Allongé sur la moquette, Lucien devait se résinier à ma supériorité de Maîtresse.

Maîtresse Marie : « bouges pas bâtard ! Tu vas goûter à mes talons ! Tiens prend ça ! ».

Lucien : « Ahh… ! Vous me faites mal Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « ce n’est qu’un avant goût de mes talents de dominatrice gros con ! ».

Lucien : « non ! Pas les talons Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « ta gueule ! Je vais te laisser quelques souvenirs, les traces de mes talons sur ta peau d’esclave ! ».

Lucien : « Ahh… ! ça fait mal Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « ta gueule je t’ai dis ! Humm… J’adore essuyer mes semelles pleines de salissures sur le corps d’un homme tel que toi bâtard ! ».

Lucien : « Ahh… ! ».

Maîtresse Marie : « lèche-moi les semelles ! Et que ça brille !

Lucien : « bien Maîtresse ! Je suis à vos pieds ! ».

Maîtresse Marie : « j’espère ! Car sinon je te broie la gueule avec mes talons pointus ! ».

Lucien : « j’adore vous nettoyer les semelles Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « arrêtes ! Tu as fais du bon boulot ! Vas-y ici ! Donne-moi ta queue ! ».

Lucien : « oui Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « tu aimes quand je te branles de cette façon ? ».

Lucien : « oui Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « ne gicles pas dans les sabots préférés de mon mari ! Sinon tu vas tout lécher ! ».

Lucien : « oui Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « allonge-toi sur le sol le temps pour moi d’enlever mes socquettes car j’ai envie de jouer avec ta grosse queue ! Humm… tu aimes ça mon salaud ? ».

Lucien : « Ahh… Je sens venir mon foutre ! Ahh… ! ».

Maîtresse Marie : « attends bâtard ! Je vais t’aider ! ».

Lucien : « Ahh… ! ».

Maîtresse Marie : « c’est bien esclave ! J’en veux plein mes sandales ! ».

Lucien : « Ahh… ! Bien Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « c’est ça j’en veux aussi à l’intérieur ! ».

Lucien : « c’est bon Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « ta gueule ! Je veux voir ton foutre coulé le long de mes sandales ! ».

Franck : « coupez ! Le clip est réussi ! ».

 

Maîtresse Marie dans toute sa splendeur.