CAVE OU DONJON ?

 

Nous étions installés dans notre nouvelle demeure, une maison sans travaux à l’exception de la cave. Cette pièce ressemblait tel à un donjon avec son plafond voûté accompagné d’anneaux fixés aux quatre coins des murs. Il me vint une idée : connaissant Lucien fétichiste de la chaussure féminine, celui-ci accepterait sans aucune hésitation à venir dans mon nouveau local, nettoyer les moindres recoins. Je profitais donc de l’absence de mon mari pour lui fixer un rendez-vous très spécial.

Maîtresse Marie : « bonjour esclave ! J’ai besoin de toi pour lustrer mon matériel de domination dans ta nouvelle prison ! Je veux te voir dans les minutes qui suivent notre coup de téléphone ! C’est un ordre ! ».

Lucien : « bien Maîtresse ! ». L’attente fut de très courte durée.

Maîtresse Marie : « à quatre pattes sac à merde ! Tu vas me nettoyer toute ma collection de chaussures dans ma cave ! Et que ça brille ! ».

Quelques bons coups de pied dans les noix de mon paillasson ne pouvaient que lui faire du bien. Tête première, il se dirigea vers les escaliers sombres de notre nouveau donjon. Ce qu’il ne savait pas c’est que toutes mes pompes présentaient pas mal de salissure sous les semelles et talons et je savais que sa pauvre langue en souffrirait.

Maîtresse Marie : « as-tu vu sac à merde ! Toutes ses chaussures sont à toi ! Alors dès que tu auras fini d’en nettoyer une paire, tu me les mettras aux pieds ! C’est un ordre ! ».

Lucien : « oui Maîtresse ! ». Il commença à lécher mes toutes nouvelles mules assorties de quelques toiles d’araignée et de poussière. Elles brillées suite à un balayage continu de sa langue sur toute la surface du cuir.

Maîtresse Marie : « apporte-les moi bâtard ! ».

Lucien : « bien ma Déesse Vénérée ! ». Il s’avança vers moi tête baissée.

Maîtresse Marie : « descend-moi ce short ridicule ! J’ai envie de voir si tu bandes à la vue de mes cuissardes ! ». Son gland était rouge comme sang prêt à exploser.

Maîtresse Marie : « je vois que mes bottes te font de l’effet ! Que pense-tu d’un bon coup de pied dans tes couilles espèce de larve ? ».

Lucien : « cela serait un grand honneur pour moi Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « approches sac à merde ! Tiens prend-ça ! ».

Lucien : « aah… ! ».

Maîtresse Marie : « humm… ! Que c’est bon ! J’adore t’exploser les couilles pauvre tare ! ». Il était dans l’agonie mais à la vue de mes cuissardes jouant de sa queue, il commençait à ravoir la trique.

Maîtresse Marie : « j’en ai pas fini avec toi esclave ! J’ai encore un petit travail à exécuter ! ».De ma main gantée, je lui pris le sexe violemment pour lui introduire l’une de mes mules.

Maîtresse Marie : « tu aimes lorsque je te branle de cette façon ? ».

Lucien : « oui Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « cela suffit ! Continues à nettoyer le restant de mes chaussures avant l’arrivée de mon mari ! Et surtout gardes ma mule dans ton entrejambe ! C’est un ordre ! ».

Lucien : « bien Déesse ! ».

En fin d’après-midi mon esclave avait effectué les tâches qui lui incombées à savoir que chacune de mes semelles étaient propres comme neuves. Sa bouche présentait encore de petits morceaux de saleté collés sur toute les surfaces.

Maîtresse Marie : « j’en ai presque fini avec toi ! Ouvres la bouche ! Tu vas me servir de cendrier ! ». D’un petit rire de moqueuse, mes cendres tombaient dans le fond de sa gorge.

Maîtresse Marie : « tu as bien rempli ta mission pauvre tare ! Tu as le droit de te masturber dans ma mule et de cracher ton sperme sur mes cuissardes ! Alors au boulot ! ».

Lucien : « oui Maîtresse c’est un honneur de poser sur vos bottes la semence de votre esclave préférée ! ».

Maîtresse Marie : « ta gueule sinon je vais m’occuper de tes couilles ! ». Il se masturba longuement, la queue venant frotter contre le cuir intérieur de ma chaussure.

Maîtresse Marie : « c’est bon hein bâtard ? Ce sera l’un de tes derniers cadeaux pour aujourd’hui ! ».

Maîtresse Marie : « alors ça vient ? ».

Lucien : « aah… ! ».

Une importante giclée vint se coller sur mes cuissardes. Son sperme continuait de couler et de dégouliner vers mes talons aiguilles.

Maîtresse Marie : « lèches maintenant sac à merde ! ».

Lucien : « bien Déesse ! ». Heureux comme Ulysse, mon partenaire d’une après-midi reprit la route, les testicules vides.

Ta Maîtresse Vénérée.

 

NB : j’attend tes photos de ta queue dans une chaussure ! C’est un ordre !