AUX SERVICES DE CES DAMES

 

Lucien mon esclave préféré a toujours rêvé de servir d’homme-objet à sa maîtresse en compagnie d’autres femmes qui pourraient jouer le même rôle. Il m’était pas évident de trouver les âme-sœurs vu mon manque de connaissance autour de moi. Il ne me restait plus qu’à tâter le terrain auprès de mes belle-sœurs avec peut-être au final un échec. Donc pendant nos rencontres régulières, j’essayais une approche de la chose en leur expliquant que tous les hommes avaient un certain fantasme de se travestir, qu’ils n’oseraient jamais en parler à leur épouse.

A force de rabâcher les mêmes propos, elles étaient tout à fait d’accord pour jouer le rôle de dominatrice pour quelques heures de plaisir ou de curiosité. A mon grand étonnement, elles m’avouaient que leur mari n’avait jamais exercé ce genre de domination et que vu comment leur conjoint s’occupait d’elles, mes belle-sœurs n’hésiteraient plus un instant à goûter à tout. Il ne me restait plus qu’à téléphoner à ce sac à merde, haut-parleur enclenché et en compagnie de Valérie et Lucette.

Maîtresse Marie : « bonjour esclave ! Je t’es trouvé des personnes qui voudraient bien s’occuper de toi ! Si tu vois ce que je veux dire ! ».

Lucien : « merci Déesse ! Je m’habille et j’arrive ! ».

Mes belle-sœurs me posaient quelques questions à son sujet. A savoir comment il arriverait habiller ou encore comment devaient-elles se comporter envers lui. Je leur donnais des indices ou conseils de dominatrice professionnel et apparemment, elles avaient tout assimilé.

Valérie : « super ! Pour une fois que l’on va s’amuser, on va s’amuser ! ».

Elles claquaient des talons, impatientes de travailler mon esclave. Lucien était bel et bien au rendez-vous. Il portait des bas-résilles, une jupe des plus banales ainsi qu’un corset et du rouge à lèvre.

Maîtresse Marie : « arrêtez de ricaner les filles et montrez-moi comment vous vous adressez à ce genre de spécimen ! ».

Lucette : « à quatre pattes esclave ! Embrasses nos bottes ! ».

Lucien : « oui Maîtresses ! ».

Maîtresse Marie : « regardez les filles comment je fais entrer ce paillasson ! ».

Elles me regardaient lui porter des coups de pied dans l’entrejambe sans jamais relever quoi que ce soit. Au contraire, elles avaient le sourire aux lèvres.

Lucien : « aah… ! Vous me faites mal Déesse ! ».

Maîtresse Marie : « ta gueule ! Sinon ce sera le tour de mes chères belle-sœurs à s’occuper de tes noix ! Maintenant avances jusqu’à la table de la salle à manger ! ».

Il exécutait mon ordre sans broncher toujours à quatre pattes. Il ne nous restait plus qu’à nous installer, jambes croisées, notre pauvre tare à nos pieds.

Maîtresse Marie : « alors les filles ! Qu’attendez-vous pour vous faire cirer les bottes ! ».

Valérie : « c’est vrai ça ! Tu as parfaitement raison Marylise ! Allez esclave nettoie-nous les semelles car elles sont toutes pleines de saleté ! ».

Lucette : « regardez ce con ! Il fait tout ce qu’on lui demande de faire ! ».

Valérie : « génial ! Viens un peu ici toi et suce-moi les talons ! Je crois que j’ai marché dans une crotte de chien ! Hihihi… ! ».

Maîtresse Marie : « moi ce que j’adore les filles, c’est de mettre des coups de pied dans les couilles de ce mec ! J’adore lui arracher la peau de ces noix avec mes talons ! Regardez votre chère belle-sœur dans ses œuvres ! Tiens prend ça et ça ! ».

Lucien : « aah… ! ».

Lucette : « je peux essayer ? ».

Maîtresse Marie : « bien sûr ! Il est à toi ! ».

Lucette : « et paf dans les couilles ! ça calme les nerfs ce genre d’exercice ! ».

Maîtresse Marie : « n’hésites pas à lui broyer la queue ! Il adore ça ce cochon ! ».

Valérie : « laisse-moi la place s’il te plaît ! Pour une fois que je m’amuse ! ».

Lucien : « aah… ! »

Valérie : « encore gagné ! En plein dans les couilles ! Et maintenant les filles observez bien ce que je ferai à mon mari ce soir ! ».

Ma belle-sœur monta brusquement sur le gros estomac de Lucien et d’une violence inouïe, enfonça ses talons usés dans la chair de notre hôte.

Lucien : « aah… ! J’ai mal Maîtresse! ».

Valérie : « ta gueule sale pute ou je te fais bouffer ma botte ! ».

Lucette : « vas-y Valérie enfonce-lui l’extrémité de ta pompe dans sa sale gueule de con ! ».

Maîtresse Marie : « continuez les filles ! Le temps de me préparer à jouer mon rôle d’homme ! ». Valérie : « ah bon ! Qu’est-ce que tu mijotes ? ».

Maîtresse Marie : « avec le gode de mon mari, je vais vous l’enculer cette sale pute ! ».

Lucette : « déconnes pas ! Tu vas vraiment le pénétrer ce mec ? ».

Maîtresse Marie : « bien sûr ! Qu’est-ce que tu crois ! Finalement ce n’est qu’une pute qui aime sucer les talons comme des queues ! Au fait, donnez-lui les restes de nos repas ! Il adore bouffer comme un chien aux pieds de ses Maîtresses ! ».

Valérie : « d’accord ! Sans problème ! ».

Maîtresse Marie : « j’ai oublié de vous dire les filles ! Il faut lui malaxer la nourriture à l’aide de vos bottes ! Sinon il ne mangera pas ! Il adore finir son repas après un bon léchage de semelles ! ».

Lucette : « entendu Marie ! ».

Le temps de mettre mon gode, je pouvais apercevoir mes belle-sœurs se régalaient à la vue de mon esclave sucer, lécher et nettoyer leurs pompes.

Maîtresse Marie : « restes courber sale pute ! Tu vas goûter à ma queue ! ».

Valérie : « arrêtes Marie ! On va en attraper un fou-rire ! ».

Maîtresse Marie : « continuez à vous faire nettoyer les bottes, le temps de lui échauffer le cul ! ». Quelques claques sur les fesses suffisaient à lui exciter le troufion.

Maîtresse Marie : « prend ça dans le cul bâtard ! ».

Lucien : « aah… ! ».

Maîtresse Marie : « venez les filles ! J’ai besoin de votre aide pour la faire jouir cette pute ! Met-toi là Valérie et tape-lui dans les couilles à chaque coup de rein ! Et toi Lucette frappe-le dans le bas ventre et dans la gueule ! ».

Lucien : « aah… ! ». Mes belle-sœurs le frappaient violemment avec sadisme. Les coups portés lui rendaient la queue toute bleue prête à exploser ! Lucette en profitait même pour lui enfoncer au fond de la gorge ses talons usés par la marche.

Lucien : « aah… ! ».

Valérie : « le bâtard ! Il a éjaculé sur mes bottes ! ».

Maîtresse Marie : « ne t’inquiètes pas ! Il adore nettoyer son propre sperme ! Surtout sur les bottes d’une inconnue ! ».

Valérie : « sors ta langue sale pute et lèches ! ».

Maîtresse Marie : « n’hésites pas à le gifler ce con s’il ne fait pas correctement son boulot ! ».

En fin de séance, mon soumis nous quittait les couilles vides emportant avec lui des coups et des marques de talon dans le cul. Finalement et dans nos discussions de belle-sœurs, il s’avérerait que ces filles m’avaient bien caché leur jeu et que quelque chose me dit qu’elles seront un jour, récidivistes dans ce genre d’exercice.

Maîtresse Marie dans toute sa splendeur.