ANNIVERSAIRE CRUSHING

 

Etant fétichiste de la chaussure féminine depuis plusieurs années, je me suis rendu compte que mon fantasme portait sur l’écrasement d’insectes vivants style gros vers de terre ainsi que sur la nourriture. Il y a longtemps que je rêvais de voir ma Maîtresse piétiner et pulvériser ces choses qui étaient pour moi de pauvres victimes à ses pieds. Celle-ci s’aperçut rapidement de ce fétichisme par le biais de mon courrier sur mon ordinateur et profita de mon anniversaire pour me faire plaisir. Il est clair que je ne m’attendais pas ce jour-là à une telle surprise.

Maîtresse Marie : « ce soir esclave, je vais t’offrir quelque chose qui sera pour toi inoubliable ! Tu m’as toujours fait remarquer que sans alcool, je ne pourrais réaliser tes propres fantasmes ! Et bien à partir de maintenant, ce sera chose faite ! Regardes et admires ! ».

Elle disposait sur le sol et sur une superficie d’environ quatre mètres carrés, six gâteaux fondants au chocolat ainsi et à ma grande stupéfaction, de gros vers de terre vivants et gigotant dans tous les sens. Elle installait avec précision une caméra numérique ainsi qu’une large collection de chaussures.

Maîtresse Marie : « tu vois vermine, ces petits insectes souffriront pour toi ! Je sais que tu aimes ce genre de chose alors je vais te montrer de quoi est capable ta chère Déesse avec ces pompes que tu adores lustrer ! »..

Lucien : « c’est vrai que j’adore ça ! Alors fais-moi jouir Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « n’éjacules pas dans ton froc avant que je n’ai broyé ces merdes, sinon tu prends mon pied dans les couilles ! ».

Lucien : « bien Maîtresse ! ». Maîtresse Marie : « tu auras le droit de t’approcher et les entendre grouiller sous mes semelles ! Bon tu es prêts esclave ? ».

Lucien : « oui Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « sors ta queue et branle-toi sur ces vermines ! ».

Elle enclenchait la caméra et lentement mais sûrement s’approcha d’un premier gâteau.

Maîtresse Marie : « humm… ! Que c’est bon de piétiner cette merde ! Regardes bâtard ce que je peux faire de ta petite bitte avec mes talons aiguilles ! C’est ça branle-toi sac à merde ! ».

« Donnez-moi l’ordre de vous lécher les semelles Maîtresse ! Ce serait un grand honneur pour moi de vous servir ! ».

Sous la pression de ses semelles, la nourriture venait s’éclater le long de ses chaussures, venant également se coller dans les rainures de celles-ci.

« Que c’est bon Maîtresse ! ».

Maîtresse Marie : « tiens sac à merde ! Justement j’ai besoin d’une serpillière pour nettoyer mes pompes ! Alors sors ta langue de chien et lèches mes beaux escarpins rouges, c’est un ordre ! ».

« Nettoies également mes doigts de pieds ! ».

Chez Maîtresse Marie. Elle s’installait dans le fauteuil, changeant rapidement de chaussures en attendant avec impatience mon approche. Elle balançait ses superbes chaussures laissant tomber par moment le restant de ce pauvre gâteau. J’en salivais d’avance et ne pus m’empêcher de sucer ses fameux talons comme une queue.

« Il te reste encore des talons aiguilles à nettoyer espèce de larve ! ».

Nouvelle tenue, nouvelles sandales !. Elle ricanait à la vue du chocolat dégoulinant le long de mon visage, qu’elle n’arrêtait pas d’ailleurs d’étaler !

Maîtresse Marie : « regardes ta gueule vermine ! On dirait que quelqu’un s’est permis de te chier dessus ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! ».

Elle me repoussait du pied en m’exclamant : « allez dégages bâtard ! J’ai encore tes petits copains à m’occuper ! ».

Elle me prit violemment par les cheveux en m’indiquant la direction de ses futures victimes qui grouillaient sur le tapis. Elle me mobilisa la tête à l’aide de sa sandale à lanières et dit sur un ton menaçant :

« Fermes ta gueule sac à merde ! ».

« Vous me faites mal avec votre talon aiguille, Maîtresse ! ».

«.. tu vois sac à merde, tu vas pouvoir profiter du spectacle ! Alors observes ma supériorité de Déesse ! ».

Son premier talon vint se poser brutalement sur la tête de l’une de ces bestioles. Le pauvre ! Il en était maintenant à souffrir sous le poids de ma Maîtresse. Il se tortillait dans tous les sens dans un liquide jaunâtre.

Maîtresse Marie : « finalement c’est excitant de voir l’agonie de ces larves sous mes semelles ! Je crois même que j’en prend du plaisir ! Viens ici esclave et lèches mes semelles pleines de saleté ! C’est un ordre ! ».

J’étais maintenant proche de sa première victime mourant sous son talon et j’en étais à lui servir d’aspirateur à gâteaux.

Maîtresse Marie : « tu aimes voir ça gros porc ! Alors branle-toi comme il faut ! ».

Elle s’amusait à broyer les autres ; tous dans le chemin de ma Maîtresse. D’un pas à l’autre, je pouvais entendre leurs petits boyaux explosés sous une marche des plus brutales, finissant leur vie telle une petite fille s’acharnant sur un mégot mal éteint. Dans son sillon, quelques uns d’entre eux luttaient comme l’agonie, essayant de fuir mais sans résultat. De grosses tâches apparaissaient maintenant sur le sol et j’avais peur du supplice final qu’est un nettoyage du carrelage avec ma langue.

Maîtresse Marie : « restes à genoux esclave ! Je veux que tu éjacules sur ses larves et vite ! ».

Lucien : « bien Maîtresse ! C’est un honneur de vous servir ! ».

Pour m’exciter, elle n’arrêtait plus de piétiner le restant de ces vers de terre dans des mouvements de rotation.

Du jus giclait dans tous les sens et je ne pus m’empêcher de cracher mon foutre sur ces pauvres victimes.

Dans le jardin privé de Maîtresse Marie. En fin de soirée, je n’avais plus qu’à lustrer le carrelage ainsi que les belles chaussures de ma Maîtresse, en attendant une autre expérience, mais ce coup-ci, à l’extérieur et en l’occurrence dans son potager personnel !

« Régale-toi esclave, je viens juste de l’écraser ! ».

 

Ta Dominatrice.